Les carrefours se sont formés autour de 5 questions :
mouvements et services, entre diocèses, entre générations et milieux,
des passerelles et des synergies. Cet esprit, peu à peu, pénètre nos activités
et détermine une envie de rencontres et d’enrichissement mutuel.
L’engagement des membres de nos mouvements n’est pas insipide. Le combat pour la justice et la fraternité donnent des Chrétiens une image d’artisans de solidarité, de lien social et de respect des gens.
En quoi, votre mouvement ou des membres de votre mouvement ou service sont ils acteurs de solidarité, de lien social ?
Quels sont les lieux : associations et institutions initiées ou soutenues par des militants ?
Par leur implication au cœur d’une société sans repères, les mouvements accueillent des chercheurs de sens, des chercheurs de Dieu. Des personnes, grâce à eux, découvrent la présence de Jésus Christ parmi la vie des gens. De même, l’approche de
Quelles sont les expériences de cheminement catéchuménal ou d’entrée sur nos chemins de foi (création de groupe de partage, catéchuménat…) ?
Quelle implication des militants dans les instances d’Eglise de proximité (équipes relais, EAP…) ?
LES ASSISES : Une Eglise solidaire de ceux qui créent de la vie.
Les Assises : un esprit plus qu’une suite d’événements. Cheminements divers : CEAS, session de formation des militants, valorisation du territoire, réflexion sur le logement en partenariat avec d’autres associations telles que Habitat et Humanisme.
Quels liens des mouvements avec la dynamique des Assises ?
LES MOUVEMENTS : Chemin d’avenir pour l’Eglise
Pastorale de l’engendrement :
Elle s’enracine dans l’expérience de Jésus, avec les gens qu’il a rencontrés. 12 sont devenus le « noyau dur », les apôtres. 72 (et plus) ont été « disciples », appelés et envoyés aux villes et villages du pays, et d’ailleurs.
Et « la foule », par centaines, des gens de qui on ne sait rien, étrangers ou cabossés, malades ou athlètes, pauvres ou notables. Ils s’en sont allés, sans qu’on retienne leurs paroles ou leurs gestes. Un peu plus tard, les communautés de chrétiens fleurissaient un peu partout. La société, la nôtre, est en pleine mutation. Notre Eglise ne règne plus sur les consciences et les institutions. Elle ne sait plus « encadrer ». Et pourtant, dans notre monde sans repères, elle intrigue, rassemble, séduit toujours. Hors des sentiers battus, des catholiques « labellisés » : catéchuménat, milieux populaires, bobos, sensibilités nouvelles. Comme si bien des gens avaient fait la rencontre de quelque chose de Jésus-Christ. ? Par des personnes, un événement, une célébration, un grand malheur ou un grand bonheur. Dans le secret de leur conscience : on n’y voit que du feu. A condition qu’il y ait, de notre part, bienveillance, humilité, respect, confiance, Espérance : « Ta foi t’a sauvé ». Là, il y a engendrement. Reconnaissance de l’œuvre de l’Esprit par-delà notre maîtrise et nos stratégies. Mise en lien, création de relations et d’estime.
Notre assemblée, ce sera aussi pour dire les expériences de ce que fait Dieu au cœur des gens, avec notre enthousiasme et nos découragements, notre vitalité, notre intelligence.
Quelles synergies avons-nous pu vivre : entre mouvements ? entre mouvements et services ?entre mouvements et paroisses ? avec la société civile ?